Entre la première et la dernière phrase .....

Un café "robusta" plutôt qu'"Arabica".

On a perdu de vue le côté suave pour ne garder que l'amertume.
Pertes de repères, tout est parti à vau l'eau, au gré des pressions internes et de cette amertume prononcée.

Mais nous ne garderons aujourd'hui que l'impression de l'amertume matinale.
Pourtant une douceur très printanière s'insinue par ma fenêtre, le vert très "frais" des arbres, éclairé par un soleil plein de douceur.
Celui que l'on aime pas celui qui tape, non l'annonciateur des beaux jours. Celui que tu appelles de tous tes voeux.
On entend de ci de là des appels, toi surement plus que moi, car tu es souvent en extérieur. Le chant de terrasses, comme le chant des sirènes qui attirait tant les marins naufragés.
Une autre façon d'affronter dans un rêve éperdu une mort certaine. Chacun est alors face à son soi pour ne garder que son envie.
Le chant est lancinant, "M...", "M....".... mais non mon audition me trompe.
Les odeurs montent
De l'amertume au sucré le voyage n'est pas toujours direct mais sinueux à souhait.

J'aime l'arabica, voilà la raison profonde.